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Sous les pavés, Paraty


Sous les pavés, Paraty

Du 11 au 14 mai 2017 :

Bilan de notre première nuit en bus de nuit : IL FAIT FROID ! On avait les sièges derrière le chauffeur. Bon plan pour la place pour les jambes mais mauvais plan pour la climatisation. Il pèle sévère ! On avait heureusement mis un pantalon et pris 2 pulls qui n’ont pas été de trop ! Les gens avaient amené leurs couvertures… On s’est arrêté pour manger dans un restaurant sur le bord de la route à 18h et on a fait une seconde pause à minuit pour changer de chauffeur.

On débarque dans la grande gare de Sao Paulo qui ressemble à un aéroport avec ses quais d’embarquement. Il est 7h et on a juste le temps d’acheter nos billets pour le bus à destination de Paraty qui part à 8h. Il fait encore super froid dans le bus, ça contraste avec la moiteur ambiante. Et le bus fait des arrêts toutes les heures et demi, on met donc 6 longues heures à arriver dans la jolie ville coloniale. On tourne un temps interminable dans les rues du centre pour trouver une pousada qui regroupe tous nos critères (surtout de prix). Et on termine dans un hôtel presque vide avec chambre minuscule, piscine et petit déjeuner à volonté (important !).

On passe les jours suivants à se balader dans le centre-ville. Les pavés proviennent des bateaux Portugais qui se chargeaient de pierres pour venir d’Europe et repartaient avec de l’or du Minas Gerais (état Brésilien). On teste les Caipirinhas locales, l’açai (fruit rouge de la forêt amazonienne à consommer en glace accompagné de lait concentré, de fruits et de céréales). On va aussi se faire bronzer à Trinidade, un village au bord de la mer avec des plages de sable fin. L’eau est chaude et l’air plus frais, sous les parasols. On passe l’après-midi à déguster des cocktails de fruits frais, du poisson grillé et des empanadas. On cherche aussi un médecin pour faire nos certificats médicaux pour monter sur le bateau en juin. Pas facile à expliquer aux locaux, d’autant que l’on ne parle toujours pas Portugais. On nous envoie tout d’abord à l’hôpital, qui, bien sûr ne fait pas ce genre de choses, puis au poste de santé qui n’est ouvert que 2 jours par semaine donc surchargé… On finit par décider d’aller voir un médecin privé et de payer 90 euros pour deux consultations. On doit un peu argumenter (en anglais-espagnol-portugais) pour qu’il nous signe note papier si longtemps avant de monter sur le bateau mais ça passe ! Ouf, on a enfin le précieux sésame pour rentrer à la maison !

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