Du 13 au 18 février 2017 :
Du coup, comme il est déjà 11h, on décide d’aller manger notre sandwich (interdit sur le site), de faire tamponner nos passeport avec le tampon officiel et de ré-entrer profiter du soleil pour faire un second tour. On passe encore 3 heures à prendre des photos et s’asseoir au soleil pour savourer la vue sur le fleuve en contrebas et les montagnes alentours. On peut voir la voie ferrée que l’on a longée hier et les gens l’emprunter aujourd’hui pour rentrer. A partir de 13h le site se vide considérablement et on ne regrette pas notre décision de dormir une nuit de plus à Aguas Calientes pour ne repartir que demain et profiter toute la journée de ce site. Entre le soleil et la foule partie, c’est parfait ! Vers 15h, on reprend le chemin des marches en sens inverse et en seulement 30 minutes cette fois on est de retour à Aguas Calientes. C’est une visite vraiment marquante et que l’on n’a pas regrettée d’avoir faite de cette façon-là pour prendre notre temps et s’imprégner du site.
Le lendemain matin, on prend notre temps pour partir du village, on sirote notre café en regardant le ballet des bus qui amènent le flot de touristes sur la montagne. Puis, on longe la voie ferrées en sens inverse, il n’y a personne, les touristes sont encore en haut. On mange à Hydroelectrica, le temps d’attendre l’heure de notre minibus. Finalement on partira bien en retard car personne n’avait notre nom d’inscrit sur les listes. C’est un joyeux bordel mais, par on ne sait quel miracle on se fait poussé dans un minibus. Nous, tant qu’on rentre on s’en fiche avec qui ! Cette fois je suis côté ravin et la route qui longe les falaises à pics me paraît interminable, je ne peux m’empêcher de regarder en bas toutes les 30 secondes et voir les roues passer à 10 centimètres du bord… Enfin on rejoint la route bétonnée. Et finalement Cusco à 22h.
On prend la route le lendemain matin pour Puno, au bord du lac Titicaca, côté Péruvien. La ville ne nous séduit pas plus que ça et les excursions proposées sur le lac nous paraissent trop touristiques. On décide donc de continuer notre route à Copacabana (côté Bolivien) pour découvrir ce lac situé à 3800 mètres d’altitude !