Du 17 au 26 mai 2016 :
Cette fois, on descend en longeant la côte ouest de l’île. Il commence à pleuvoir beaucoup et la température chute pas mal ! Il y a aussi du vent : on en perd même un phare sur la route, pouf envolé !!!! On voulait faire une randonnée sur le Mont Taranaki mais impossible de l’apercevoir tant le brouillard est dense : le centre d’information nous déconseille l’ascension jusqu’au cratère. On fête aussi mon anniversaire le long d’une départementale, sous la pluie, faute de trouver une aire sympa et gratuite dans le coin ! La loose ! On fera quand même honneur à la vodka et à l’énorme gâteau au chocolat, après avoir profité de mon cadeau génial : une douche et un plouf à la piscine municipale.
On continue notre descente vers Wellington, toujours en dormant dans des camps gratuits, plus ou moins sympas. On longe les routes secondaires qui nous font découvrir des paysages inattendus : des gorges, des rivières, des lacs, des forêts, des collines, des vaches et bien évidemment… Des moutons !!! Le soleil daigne enfin revenir après ces 5 jours de pluie. On passe une journée à visiter Wellington, son front de mer, son musée à la renommée nationale : « Te papa », sur la culture Maori et la Nouvelle-Zélande en général. Pour la nuit : vue sur les montagnes de l’île du sud qui semblent nous appeler de l’autre côté du détroit de Cook.
Première traversée en ferry qui sera, pour nous, suivie par 3 autres ! On passe les deux heures sur le pont principal à admirer la vue de la baie de Wellington qui s’éloigne, puis des albatros qui tentent de décoller en pleine mer et enfin l’incroyable paysage des Malborough Sounds. Une eau bleue limpide, des collines couvertes d’arbres avec une maison solitaire de temps en temps et surtout les fjords dans lesquels le ferry semble s’enfoncer pour accoster à la petite ville de Picton sous le soleil ! Ça promet ! On tombe instantanément sous le charme de cette île que l’on s’apprête à découvrir.